Né en 1935, ce peintre de formation « Arts Déco » s'est fait connaître de façon internationale après plus de 100 expositions « personnelles », par une peinture figurative dont le succès ne s'est jamais démenti, aussi bien en Europe qu'aux États-Unis et en Asie.
Coté I-CAC, il figure aux dictionnaires BENEZIT et DELARGE
Parallèlement à ce travail, et par souci et envie d'éclectisme, il a, depuis plus de 50 ans travaillé une forme de peinture issue de l'« abstraction lyrique »...
Partant du principe que les compositions picturales sont amenées, accrochées aux cimaises comme aux murs d’un salon, à combler le regard des amateurs, il ne craint pas de revendiquer un souci d’esthétisme... Il apporte à la composition comme au choix des couleurs, un soin particulier, tout en balayant la toile d’une gestuelle qui semble mettre ses images en mouvement. Il ne revendique aucun message, se réservant le plaisir de peindre, espérant que ce plaisir sera partagé par ceux pour qui l’Art doit, quelles que soient les circonstances, apporter des instants de bien-être et de quiétude...
Dans ses toiles abstraites, Ténurb-Géneau à l’instar des peintres de « l’Abstraction lyrique » des années 50 (Mathieu, ZAO Wou Ki, Chu Tey Chun ,Hartung etc… ) privilégie l’équilibre des formes , la « valeur » et l’harmonie des couleurs : dans des compositions où le balayage de ses brosses anime parfois le mouvement de l’ensemble.
Déviant parfois de l’abstraction lyrique vers une représentation plus classique, le peintre Tenurb- Géneau se plaît à imaginer des compositions comme celles-ci, où les paysages prennent la liberté de se confondre avec l’abstraction. Une forme de rencontre que le peintre franco-chinois Chu Tey Chun avait coutume d’appeler « paysagisme abstrait ». Sans oublier que le peintre Turner a pris en son temps et, particulièrement dans ses marines, tant de libertés avec la figuration classique qu’il est permis de le qualifier de précurseur de l’abstraction lyrique.
Le peintre Géneau, dans son travail figuratif, comme dans sa peinture abstraite, privilégie la composition du tableau. Dans ses « natures mortes » la disposition des éléments, formes et couleurs, est agencée de façon harmonieuse. La composition du tableau qu’elle soit pyramidale, asymétrique, horizontale ou verticale est rigoureuse avec toujours un équilibre des valeurs et des couleurs. La lumière est prise en compte et bénéficie souvent du contraste de l’arrière-plan. Quand il s’agit d’un arrière-plan paysager le peintre le floute pour lui conférer plus de profondeur. Les tableaux de Géneau ont fait l’objet depuis 50 ans, de plus de 100 expositions « personnelles »(Europe, U.S.A.,Japon, Chine ) La pivoine, fleur nationale chinoise, symbole du pouvoir, de la beauté féminine et de la générosité, souvent présente dans les compositions du peintre, a fait le succès de ses expositions dans les galeries et musées de Chine.
Déviant parfois de l’abstraction lyrique vers une représentation plus classique, le peintre Tenurb- Géneau se plaît à imaginer des compositions comme celle-ci, où les paysages prennent la liberté de se confondre avec l’abstraction. Une forme de rencontre que le peintre franco-chinois Chu Tey Chun avait coutume d’appeler « paysagisme abstrait ». Sans oublier que le peintre Turner a pris en son temps et, particulièrement dans ses marines, tant de libertés avec la figuration classique qu’il est permis de le qualifier de précurseur de l’abstraction lyrique.
Dans cette « collection bleue » cette couleur est dominante pour ls sujet du tableau, comme pour l’ambiance générale de la composition.
Le peintre Tenurb Géneau se classe dans la catégorie des « peintres abstraits lyriques »
dont les chefs de file furent dès les années 1950 et à la suite de Kandinsky : Mathieu,
Soulages, Hartung et d’autres, pour les Européens, ou Zao Wou-ki pour les Asiatiques...
Tenurb-Géneau très attiré à cette époque par la création picturale a, par besoin d’éclectisme,
étudié autant la composition figurative que celle de l’abstraction. Dans ce dernier domaine, il
s’est attaché à parfaire son travail en veillant, dans un souci esthétique (les tableaux ne sont-
ils pas destinés à embellir notre environnement ?) à l’équilibre de ses compositions : dans la
forme des tracés comme dans la « valeur » et l’harmonisation des couleurs. Avec souvent
une zone de convergence des plans, plus colorée et censée équilibrer l’ensemble du tableau
... Une gestuelle dans l’utilisation de ses brosses est souvent à l’origine du mouvement,
dans des compositions aérées qui évitent le trop-plein du « bad-painting ».
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