Peintre
Si l’on devait faire un résumé de la longue et impressionnante carrière d’Artiste peintre de Jean-Pierre VIELFAURE, sachant qu’il a commencé ses premiers dessins à 12 ans, on pourrait noircir comme il le faisait avec sa plume et son petit flacon d’encre de chine une quantité impressionnante de pages. Il passait des heures à dessiner et peindre en écoutant du jazz et à lire des poèmes, mais il aimait également voyager au sens propre et au figuré afin d’enrichir son univers poétique et artistique. Si l’on jouait au jeu « de qui est cette œuvre ? » avec le nombre impressionnant de séries thématiques et de la grande diversité de celles-ci vous risquez de ne pas gagner du premier coup. Il a commencé avec de très petits formats au crayon papier HB, puis en utilisant de l’encre de chine noire et couleur quand ses moyens financiers le lui ont permis. Il a ensuite mélangé toutes les techniques qui lui permettaient d’explorer et d’enrichir son univers : la peinture acrylique, les aérosols, les collages de photos de magasines découpées, l’apport d’objets trouvés (à New York ou sur la plage) l’utilisation du trichloréthylène pour faire des transferts, l’ajout d’éléments artistiques excentrés de la toile ... Il a produit des centaines de dessins et toiles (dont « l’Opéra civilisation » de 42 mètres de long acheté par une galerie new-yorkaise lors de sa vente d’atelier à DROUOT) et une quantité incroyable de séries à thèmes (autoportraits, Odyssée arctique, le Testament vénitien, Journal new-yorkais ...) dans lesquelles il pouvait donner libre cours à son imaginaire d’autodidacte. Découvrez ou retrouvez une partie de son Œuvre au travers de ses collections présentées ici.
Récompense nationale
Exposition internationale
Artiste récompensé
Exposition dans des musées
Date de naissance: 1930
Date de decès: 2015
France
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Si l’on devait faire un résumé de la longue et impressionnante carrière d’Artiste peintre de Jean-Pierre VIELFAURE, sachant qu’il a commencé ses premiers dessins à 12 ans, on pourrait noircir comme il le faisait avec sa plume et son petit flacon d’encre de chine une quantité impressionnante de pages. Il passait des heures à dessiner et peindre en écoutant du jazz et à lire des poèmes, mais il aimait également voyager au sens propre et au figuré afin d’enrichir son univers poétique et artistique. Si l’on jouait au jeu « de qui est cette œuvre ? » avec le nombre impressionnant de séries thématiques et de la grande diversité de celles-ci vous risquez de ne pas gagner du premier coup. Il a commencé avec de très petits formats au crayon papier HB, puis en utilisant de l’encre de chine noire et couleur quand ses moyens financiers le lui ont permis. Il a ensuite mélangé toutes les techniques qui lui permettaient d’explorer et d’enrichir son univers : la peinture acrylique, les aérosols, les collages de photos de magasines découpées, l’apport d’objets trouvés (à New York ou sur la plage) l’utilisation du trichloréthylène pour faire des transferts, l’ajout d’éléments artistiques excentrés de la toile ... Il a produit des centaines de dessins et toiles (dont « l’Opéra civilisation » de 42 mètres de long acheté par une galerie new-yorkaise lors de sa vente d’atelier à DROUOT) et une quantité incroyable de séries à thèmes (autoportraits, Odyssée arctique, le Testament vénitien, Journal new-yorkais ...) dans lesquelles il pouvait donner libre cours à son imaginaire d’autodidacte. Découvrez ou retrouvez une partie de son Œuvre au travers de ses collections présentées ici.
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Retrouvez ici ses dessins à la gouache et l’encre de chine au pinceau issus de la lecture de poèmes et de son univers abstrait et surréaliste de cette époque.
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Retrouvez ici ses dessins en Noir & Blanc à l’encre de chine utilisant plume et pinceau issus des lectures de poèmes et de son imaginaire.
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Pour ceux qui connaissent son long parcours artistique, vous savez qu’il adorait créer des séries autour d’un thème, comme par exemple : le Journal New-yorkais, ses Carnets intimes et les Rouleaux initiatiques, pour n’en citer que quelques une (non présentes sur le site car utilisant des collages). Mais, ce que vous ne savez surement pas, c’est que la dernière toile ou dessin qui mettait fin à une série comportait des éléments et signes distinctifs que l’on aller retrouver dans la série suivante. Toutes les séries ne comptaient pas le même nombre d’œuvres, quand il estimait avoir fait le tour du sujet il en commençait une nouvelle. Il lui arrivait également de travailler sur plusieurs séries en même temps. Sont présentées ici des thèmes explorés sur un petit nombre d’œuvres dont certains éléments artistiques et graphiques se retrouvent dans les grandes séries.
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A cette époque ses finances ne lui permettaient pas de folles dépenses, il lui arrivait même de dessiner au dos d’ une feuille de papier. Vous retrouverez dans cette « collection petits formats 1950 1960 » ses premiers dessins. Il préférait acheter des vinyles venant des USA, afin d’assouvir sa passion pour Charlie Parker, Thelonious Monk et le jazz des années 50 60 et choisir de dessiner sur des petits format 4x4 cm ou au dos de papier glacé publicitaire.
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Vous retrouverez dans cette collection ses premiers dessins. A cette époque ses finances ne lui permettaient pas de folles dépenses, il lui arrivait même de dessiner au dos d’une feuille de papier. Il préférait acheter des vinyles venant des USA, afin d’assouvir sa passion pour Charlie Parker, Thelonious Monk et le jazz des années 50 60 et choisir de dessiner sur des petits formats ou au dos de papier glacé publicitaire.
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